Une vieille rencontre [Libre]

Le vent ne soufflait pas si fort à cet endroit là mais la brise fraîche du début de la soirée ébouriffait ma crinière. J'appréciais tant faire voler mes crains au grès du vent. J'avais l'impression d'être "grand", j'était fière d'être ce que je suis. Oui, j'était un peu frimeur et j'en suis conscient. J'en avait même une pointe de satisfaction, mais bon... Je sais que pas tout le monde me voit comme ça, peu importe, ce qui compte c'est que je me plaise à moi même. Un petit rictus se dessina sur mon visage plus noir que la nuit. OK, je reconnaît que je suis pas un peu mais beaucoup frimeur, à tel point que je ne me soucia pas des bruit de sabots sur la falaise. Puis ce fut une roulade de pierre suivit d'un dégringolement de cailloux qui détourna mon attention. Instinctivement, mes yeux se portèrent sur ce qui avait fait tout ce boucan et m'avait dérangé dans mes pensée par son indiscrétion. Puis, reconnaissant ces hommes sur des chevaux, la plupart baie brûlé, qui m'avait capturé lors de mon auto-exile de mon ancien troupeau, je coucha les oreilles en arrière et me cabra, tentant de leur faire peur, je hennissais d'un air menaçant. Mais rien n'y fit, ils était décidaient et ne changerais pas d'avis, mais je n'avait pas le choix, si je voulait m'échapper, il fallait que je les fassent fuir ou que je parte moi-même. Mais ma soif de vengeance me soufflait que c'était moi qui devrait les faire fuir, je devais leur apprendre qui j'était! Je donnait à présent des coups de sabots dans les airs afin qu'ils reculent mais rien à faire, au contraire, il avançaient. Je sentit alors la peur de me retrouver à nouveau enfermer m'envahir, je me laissa emporter par celle-ci. Je me cabra une fois de plus et repartit au galop. Après quelque minutes de course, je risqua un regard derrière moi. Ils était toujours là, à donné des coups de cravache sur leur chevaux essoufflés. Je me retourna et m'arrêta net, un cul de sac me bloquait le passage et mes poursuivant, avec leur sourire diabolique, me couper toute retraite. Je n'avait pas le choix, il fallait que j'escalade la paroi si je voulais m'en sortir. Je m'imaginait déjà traîner une fois de plus jusqu'à cette vulgaire cabane de bois. Mais non! Cette fois, je ne me laisserais pas avoir! Il ne fallait pas que j'abandonne maintenant! Il n'étaient plus qu'à quelque mètres, je pris mon élan et commença la montée. Des cailloux, qui dévalait la pente aussi vite que mes poursuivant quelque minute plus tôt, me menaçait de m'emporter vers le bas. Je jeta une fois de plus un oeuil vers le bas de la falaise, un frissons d'horreur me parcourras aussitôt, il avaient eux aussi commencer à monter et ils était si proches. Mais ce fût lorsque je fus violemment attiré vers le bas. Et que je me retrouva couché sur la poussière que je regretta ce moment d'inattention. Un lasso au coup m'empêcher de remonter. Mon antérieur droit me faisait terriblement souffrir à tel point que je dû faire un immense effort pour me relever. Les hommes crièrent victoire. Mais je retomba de tout mon poids, soulevant un nuage de fumée. Ma patte avait glissé et la douleur me faisait trop souffrir pour que je puisse tenter de m'échapper à nouveau.
La douleur était si violente qu'elle me paralyser presque tout mes autres membres. Ma vision se brouillait, peut-être allais-je tomber dans les pommes ou mourir... Non! Je refusait d'y croire! Ils ne m'auront pas une fois de plus! Il fallait que je me relève! Les hommes réfléchissait eux aussi, sans doute cherchaient-t-ils un moyen de m'emmener. Il fallait que je les prennent par surprise... Mais ma douleur m'empêcher de trouver l'ombre d'une idée. Je rester là, étendue dans la poussière, a souffrir le martyre. Comment ai-je pu me laisser distraire au point de ne pas les voir arrivé? Pourquoi n'ai-je pas fuit dans un autre sens? Pourquoi la pente était si raide? Je n'avait de réponse à aucune de ces questions mais je savait que le seul moyen de m'en sortir était d'être plus fort que la douleur... mais comment? Voilà le véritable problème. J'essayais finalement de ne plus penser à mon antérieur, sans doute casser ou déboîter. Qu'est-ce que je dois être ridicule! Heureusement que personne ne m'observe! Bien, finit les pleurnicheries, je dois trouver une solution! Je réfléchissait à présent à toute vitesse. Mais rien... aucune idée ne me parvient.



(désolé pour les fautes d'orthographe )

[ Je peux ? ]

[Bien sûre]

(je continue un peu)

La douleur était si violente qu'elle me paralyser presque tout mes autres membres. Ma vision se brouillait, peut-être allais-je tomber dans les pommes ou mourir... Non! Je refusait d'y croire! Ils ne m'auront pas une fois de plus! Il fallait que je me relève! Les hommes réfléchissait eux aussi, sans doute cherchaient-t-ils un moyen de m'emmener. Il fallait que je les prennent par surprise... Mais ma douleur m'empêcher de trouver l'ombre d'une idée. Je rester là, étendue dans la poussière, a souffrir le martyre. Comment ai-je pu me laisser distraire au point de ne pas les voir arrivé? Pourquoi n'ai-je pas fuit dans un autre sens? Pourquoi la pente était si raide? Je n'avait de réponse à aucune de ces questions mais je savait que le seul moyen de m'en sortir était d'être plus fort que la douleur... mais comment? Voilà le véritable problème. J'essayais finalement de ne plus penser à mon antérieur, sans doute casser ou déboîter. Qu'est-ce que je dois être ridicule! Heureusement que personne ne m'observe! Bien, finit les pleurnicheries, je dois trouver une solution! Je réfléchissait à présent à toute vitesse. Mais rien... aucune idée ne me parvient.

Tu n'as pas le droit de continuer! Sois tu édite ton premier message et tu rajoute cela, soit tu attends une réponse d'un autre joueur.

(ok, je vais éditer, merci pour l'info )