Ce que L'amour nous fais faire. {Pv Peanut}

La soleil tapait fort sur ma tête ce matin là. J'ouvris les yeux et je reçus de plein fouet le soleil. Mécontente je me leva et je partis de là au galop. Fichus soleil. Il ne pouvait pas faire autrement que de me réveillais si brutalement ?! Rha que je haïssais se maudit soleil de pacotille! J'arriva alors a un endroit calme. Sans bruit, sans personne. Je me ralentis et je pris le pas. Je connaissais cet endroit. Cet endroit qui m'avais remplis de bon, comme de mauvais souvenirs. Je l'aimais cet endroit. Depuis que je l'avais rencontrer toute avais changer dans ma vie. Il avait toujours cette jolie rivière. Je m'en approchas et je bus quelque gorgées. Ha, que c'étais bon l'eau. Je me mise alors à brouter tranquillement, mais quand même sur les garde. J'entendis alors une voix familière. Je dressa les oreilles. Je reconnaîtrais cette voix entre mille, Peanuts. Je leva la tête et je vis quelque chose qui me déplus alors. Pour quel raison, aller savoir ? Je vis alors rouge. Je m'approchas de l'étalon, car maintenant c'étais plus un poulain, et me mis entre lui et la jument, qui, était d'un blanc de neige. Je baissa les oreilles et je fixa froidement la jument blanche, la défiant des yeux. Je hennis alors méchamment (comme rivière quand Spirit fonce dans petit-nuage.) après la jument. Je me retournas alors vers Pea' et je lui dis, la gorge nouée:
-Adieu.
Je partis alors au galop, complètement en rage contre mon meilleur ami. Franchement il me dégoûter. Mais pour quoi avais-je fais ça ?! Je ne savais pas. J'avais été...Jalouse? Non, je ne pense pas. Peut-être par ce que... voilà quoi,c'étais mon frère et je ne voulais pas que quelqu'un l'ai pour lui tous seule!

Je ne voulais pas entendre ce qu'il avait à dire. Pour moi ces comme si il m'avait trailli mais,pour quoi? Je ne sais pas. Je galopais, plein gaze, les yeux fermés. Je ne voulais plus le voir, jamais! J'ouvris alors les yeux. Le vent me les piquaient. Les yeux emplis de larmes, je hennis rageusement. Je vis alors une masse, s'interposer devant moi. comme j'étais à ma vitesse maximal je ne pus ralentir, n'y même le contournait. Je le heurtas de plein fouet, le fessant tomber sur le flanc. Je me leva d'un bond. Pour quoi m'avait-il ratrapper? Je lui avait dit "adieu"!Je le laissa se relever. Je le fixa droit dans les yeux. Je pleurais:

-Tu crois que je n'ai pas vu clair dans ton petit jeu? Espèce de petit draguer!

Je me retournas, dos à lui, et lui envoya une ruade dans la figure, sans le toucher bien sur.

-Va-t-en! Je ne veut plus Jamais te voir!!!

Je parti loin, au galop. Je ne pouvais plus pensais tellement la haine m'emparée. Je vis alors une grotte. Je mis précipitas et je me couchas, bien au fond de la grotte, la tête entre les pattes. Je pleuras toutes les larmes de mon corp. Moi-même je ne comprenais pas mon comportement. Que m'arrivait-il? Je ne sais pas et cela me fessais peur. Je m'endormis alors, les yeux emplis de larme, la tête pleine de question et toute chamboulée.

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Je me réveilla, les yeux rouge et gonflée par mes pleures de la veille. Je me leva et je regarda dehors. Il fessait nuit, les étoiles et la lune, -elle était pleine cette nuit- éclairaient mon chemin. J'allais sortir quand je vis Peanuts, - Je voulait l'oublier alors ce ne sera plus jamais Pea'- passait devant la grotte, me cherchant surement. Quand enfin il fus ors de ma vue, je fila discrètement au galop. J'entendis alors des sabots tous près. Il m'avait vu sortir. Je me retournas brusquement, lui fonçant sur moi. Nos museaux se touchèrent alors. Je rougis alors, gênais par ce qu'il venais de se passer.

-Ce n'ai pas...

Je détournas mon regard et je reculas, de sorte qu'il ne me touche plus. Je m'énerva alors. Je devint méchante avec celui qui avant, étais pour moi un frère.

-Non, mais franchement! D'abord t'ose draguer d'autres juments sous mon nez et maintenant ça?! Oublie moi! De mon coté c'est déjà fais! TU N'EST PLUS MON Frère!

Je ne m'échappas pas. J'attendis sa réponse.

L'étalon pie,que je ne considérerais plus JAMAIS comme un frère, avait l'air pensif. Je savais très bien qu'il n'était pas du genre à draguer les juments qu'il croisait par hasard, mais celle-là, et seulement celle-là, avait été la goutte qui avait fais débordé le vase. Ne me demandaient pas pourquoi. C'étais surement sa petite amie et, aller savoir pourquoi, ça ne plaisais vraiment pas du tout! Alors qu'avant cela ne me fessais rien. Je m'en foutais royalement avec qui il traînait! Bon, j'avoue que des fois je l’engueulais par ce qu'il était trop "coller" à une pouliche à mon gout, mais rien de plus! Je le regardais droit dans ses yeux, il avait l'air tellement perdue, mais je devais me contenir de le consoler. après ce qu'il venait de faire! Oh mon dieu! Jamais plus. Je ne veut jamais plus qu'il me touche comme-ça!!

-Tu ose m’accuser, mais je n’ai même pas pu me justifier !J’ai croisé cette jument PAR HASARD ! Je te dis que je n’ai rien fait !Que je ….

J'étais vénère à ce moment. Mais oui c'est ça, ''Par hasard". Et moi sabot dans ta façe, se sera peut-être un hasard aussi, non?! En plus va y que j'en rajoute ''Je n'ai rien fait". Ha bon? Tu n'as rien fait? Je ne crois pas non!! Je me tournas, fesse à lui. Je baissa les oreilles, le laissant réagir à ce que je m’apprêtais à faire. Je me retournas alors. Il avait l'air tellement perdue, mais vraiment. Il n'avait pas l'air de comprendre. Je me cabras alors et je lui foutus un coup dans le museau. Je cracha alors:

-Tu n'as rien fais?! Tu doit rigoler là!!! La jument et maintenant le frollage de museau!!? Non, vraiment, tu ne seras plus jamais mon frère!! Adieu!

Je partis en courant. pleurant toute les larmes de mon corp. Je ne savais pas quoi penser de se qui ce passer en ce moment. Quand je me trouvas assez loin de lui, je m'arrêta et je m'approchas de l'eau et je me regarda dedans. Mon oeil, bleu clair. Je pris de l'eau dans ma bouche et je mouilla mon toupet pour le lissait. Je mis alors mon toupet sur mon oeil pour le cachait, quand j'entendis un bruit de pas.

Elle me tourna le dos, je voulais rester, j'aurais du m'abstenir, elle m'envoya un coup de sabot dans les naseaux, je senti ma douleur, celle-ci me paralysa, et me fis grandement souffrir, ma lèvre supérieure saignait un peut, elle était totalement endolori. Je ferma les yeux de crispation, une larme coula sur ma joue, j'avais mal, pas par rapport à cette blessure apparente, mais à cause de celle qu'elle me faisait, au cœur... Et elle ne faisait que de remuer le couteau dans cette plaie:

-Tu n'as rien fais?! Tu doit rigoler là!!! La jument et maintenant le
frollage de museau!!? Non, vraiment, tu ne seras plus jamais mon
frère!! Adieu!

Qu'est ce qui ne tourne pas rond dans ça tête? à moins que ce soit dans la mienne que ce n'est pas normal. M'enfin. Elle pris le galop, elle pleurait, je le savais, je la connaissais bien assez pour savoir qu'est ce qu'elle avait à la façon dont elle se comportait! Mais là, je ne suivais plus rien du tout! Je la suivis à distance, je ne voulais pas qu'elle fasse une bêtise. Je la suivi jusqu'à la rivière... La Rivière! Notre maison à nous, nos deux cœurs bercés par le courant de l'eau. Elle trempa son jolis toupet dans l'eau, j'avançai vers elle, doucement, une goutte de sang perlait ma lèvre. Je m'arrêta a côté d'elle sans la regarder, je lui dis d'une voix posé, sans espérance:

-je ne serais plus jamais ton frère, je veux être plus, je veux t'aimer pour toujours, je t'aime..

Je tournas la tête. Peanuts...pourquoi venait-il me cherchait à chaque fois, à chaque blessure -au coeur- que je lui fessait? Je savais qu'il ne comprenait surement pas mon explication mais quand même! Je le regarda droit dans les yeux. Il avait l'air d'un chien qu'on abbondonne sur le bort d'une autoroute. Je baissa mon regard la première. Je vis alors une chose,une perle rouge, du sang. Sur sa lèvre. Je resta bouche-bée. Moi. Est-ce moi qui lui avait fais cela? Cette entaille à la lèvre? Lui aussi avait détournait le regard. J'étais sur le point de partir, de m'enfuir, de ne plus jamais revenir ici, sur les terres du Cimmarons. Après ce que je venais de faire il était complètement impossible que je reste ici, sur mes terres natales. J'entendis sa voix, posé et calme, comme le vent qui soufflait doucement dans ma crinière.

-je ne serais plus jamais ton frère, je veux être plus, je veux t'aimer pour toujours, je t'aime..

Je leva brusquement la tête, fessant voler ma belle crinière blanche. Non, c'était impossible. Je ne le croyais pas. Mon souffle s'accélairas, mon ventre se contracta. Il m'aimait. Pas comme une soeur,non, mais comme une amoureuse... Je sentis mes larmes montaient dans mes yeux. Oui, il m'aimait.

-Tu m'aime...Mais...

Ma voix tremblait. Ma gorge était nouée et je parlais à voix basse. Que faire?Je restais là, à le fixais droit dans ses petits yeux plein d’émoi. Mais moi, je n'en avais fichtrement rien à battre de se qu'il devait ressentir! Enfin...Quoique je m'en voulais un peu pour sa lèvre... Il m'avait fait mal. Je repensa à sa phrase. Cette phrase qui bouleverseras ma vie à jamais. Je le regardais, droit dans les yeux. Je les baissa la premières. Je ne pouvais pas supportais de le regarder en face. Pour moi, cet amour était tout simplement impossible. Je ne savais pas quoi faire. J'avais chaud, froid, peur, mal, faim, soif. Je ne savais pas ce que je ressentais. J'éclata en sanglot. Je recula de Peanuts et secoua la tête, fessant voler mon beau toupet avec.

-Je ne sais pas...

L'étalon pie n'avait pas l'air de comprendre...Mais comment lui expliquer? Lui expliquer tous le mal qu'il m'as fais...Un mal si profond, si douloureux. Comme un coup de sabot dans le coeur. comment lui dire que je ne l'aimerais plus jamais...Jamais est un bien grand mot, mais en tous cas, pas maintenant -dans quelques années quand on sera plus grands et qu'on se rendra compte de nos bêtise de gamin, quand j'aurais une famille- comme un frère, n'y comme mon étalon d'ailleurs. Je ne comprenais pas se sentiment, se sentiment qui a chaque blessure que je lui fessais m’envahissais le coeur. Il s'approchas de moi et me leva le toupet. Non. Non, décidément je ne pouvais pas. Quelque chose me fessais le repousser, éloigner de ses sentiments. Il arrêtas alors quand il vu que je ne voulais pas de lui. Une larme, une seule,mais peut-être pas la dernière, s'écroula doucement sur sa joue. Il pleurait, il comprenait, il se doutait de se que j'allais lui dire. Je tournas la tête, ne supportant pas voir ses larmes coulaient. J'entendis alors des sabots, puis un galop rapide, -mais pas autant que le mien- je tournas la tête. Un regard, une seul et triste regard. Cet étalon, il m'en voulait, je le sentais. J'entrepris de le suivre. Il fallait qu'il sache, il fallait qu'il comprenne au mieux ce que je ressentais. Je restais assez loin, pour ne pas me faire sentir. Il c'était d'abord coucher puis c'était levé et parti vers le lac...Ce cher lac...Cet rencontre puis se brisement de coeur...Je pris mon courage, le peu que j'avais, entre deux sabots et m'avança vers lui.

-Tu sais Pea'...Tu sais tous le mal que tu m'as fais en parlant à cette jument blanche ? Ma voix, si douce et si calme d'habitude, pris place à une voix remplis de colère et de peine. Je t'ai vu la draguer, lui parler, lui sourir...Ce sourir qui d'habitude, tu me fessais!!Pea' je t'en veut!Voilà!tu sais ce que je ressent! Et puis moi ! Tu compter me laisser tomber et partir avec elle!? N'est-ce pas?!!

Je ne pleurais pas, je ne souriais pas. Mon regard était d'un noir d’ébène si l'on regarder bien au fond. Si noir, qu'on aurait pu croire que c'était la nuit, la fin, les ténèbres. Je me décalas de l'étalon, attendant une réaction brusque. Qu'allait-il me répondre encore une fois?!

J'eu, soudain, l'impression d'avoir entendus un soupir. Peut-être avais-je rêver? Pea' ferma les yeux. Je fis de même en baissant un peu la tête. Quelques secondes s'écoulèrent. J'entrouvris alors les yeux et je vis sa lèvre. Le sang, la coupure que je lui avait faite, avait un peu cicatrisée, mais la vue du sang me fessais mal au coeur. J'avais été méchante sur ce coup là, j'avoue. Je ne savais pas quoi pensée de sa phrase, -je ne serais plus jamais ton frère, je veux être plus, je veux t'aimer pour toujours, je t'aime..- si je devais la prendre mal, la prendre bien ou la prendre comme une blague...De toute façon, la question ne se posée plus. J'avais décider de mal la prendre. Une voix forte, pleine de désespoir retentis dans ma tête:

"Arrête! Arrête! Je ne veux plus t'entendre dire de tels sottises! Je n'ai jamais dragué personne! Personne ..."

Sa voix n'était pas celle que j'avais entendus dans ma tendre enfance. Cette voix avait changé, elle n'était pas celle que je connaissée. Cette voix appartenais à un étalon. Peanuts...Le petit poulain que j'avais aimée comme un frère,même plus. Je...Oui,non, je ne sais pas. En faite, j'ai toujours cru qu'il ne m'aimais pas, que je ne l'intérraissée pas, que j'étais juste une soeur. Oui, Pea', j'arrête, j'arrête de tout nier, de te faire du mal et je t'avoue tout. Tout ce que j'ai sur mon petit coeur.

-Je suis désoler Pea'...J'ai toujours cru que je n'était rien qu'une soeur pour moi alors que...

Je pleurais, les yeux clos, les oreilles plaqués sur ma nuque, et mes crins emmêles, le cœur brisé et battant la chamade de désespoir, je me balançais au rythme du bruit du cours d'eau, je sentais la fraicheur de cette eau en dessus de mon visage plein de larmes. Elle se remis à parler, j'étais épuisé à force de pleurer et de courir, je compris ces mots "-Je suis désoler Pea'...J'ai toujours cru que je n'était rien qu'une sœur pour moi alors que..." Je ne sauta pas de joie, elle n'avait rien dit, elle ne voulais plus être ma sœur, mais alors, sa voix me donnais une lueur d'espoir, elle était comme, comme si elle voulais me dire une chose, qu'elle n'osais pas, elle n'avait pas fini sa phrase? En pensant qu'elle voulais me dire autre chose, je changeai radicalement d'humeur et de ton:"-Fini, dit moi ce que tu voulais me dire, dit!" ma voix était insistante, mais toujours posée, avec une certaine envie de savoir la suite! Je reculais, elle me suivit, nous marchâmes tout deux côtes à côte, j'attendais sa réponse, elle ne disait rien, mais avait un si beau sourire, celui notre enfance, le plus beau de tous, celui de la liberté. Je m'arrêtai et la relança, je voulais une réponse "qu'est ce qui fait que tu ne veux pas me répondre? Aller dit!" Je resta planté là, je voulais savoirs, elle pris ça respiration et entama une phrase.

Il voulait la fin de ma phrase. Cette fin que je ne voulait pas révelée. Il n'avait sauté dee joie à ma phrase. Cet étalon émotif,cet étalon qui me fessait rire,sourire,et maintenant pleurer. Depuis ma rencontre avec lui , j'en étais amoureuse. Ha ce que L'amour nous fais faire. Il insista, insista et insista encore, mais je tenus bon. Je ne voulait pas qu'il sache de suite. Je voulais faire durer cet instain magique, le moment ou je lui dirais tout ce que j'ai sur le coeur. Chaque fois j'avancer d'un pas, du coup, nous nous mirent à marcher lentement le long de la petite rivière de notre enfance. Le silence était de plomb mais pas désagréable, il n'y avait pas vraiment de tension. C'était juste que nous ne savions pas quoi dire. Je ne savais pas si je devais le lui dire, lui dire que je n'avais aimée que lui depuis tous ce temps. Je m'arrêtas alors, pris une grande inspiration et je dit doucement:
_J'ai déjà trouver mon âme soeur.
Je ne dis plus rien après. Je voulait qu'il réagisse à cette phrase. comment allait-il le prendre? Allait-il comprendre. Mon toupet cacha mon visage -en entier- et il ne vus pas le malicieux petit sourire qui se dessina sur mes lèvres. Je fis semblant d'être abbatue, désoler. Pourquoi voulais-je autant lui faire peur? Par ce que je voulais voir si il était vraiment sincère, si il tenait autant à moi qu'il le disait. Je le regarda droit dans les yeux. Je m'attendais à rien de particulier. Juste qu'il me réponde. Que dire de plus de toute façon?

Il eut alors un petit rien, un rire comme si je me moquais de lui, que ce que je lui avait dit était une blague. Mais il s'arrêta vite en voyant que je ne rigolait pas. Il acquiesça doucement et dit, presque en colère:

_Comment ça ! C’est qui cet idiot ! Allez dit !

Dans sa voix de l'agacement était présent. Il n'avait pas comprit. Au fond de moi j'étais complètement morte de rire mais aussi assez apeurée, je ne voulait pas qu'il parte par ce que "soir disant" j'avais quelqu'un dans ma vie. si il savait...Sa ne serais plus drôle mais si il savait...Nous continuions d'avancer le long de la rivière. Le vent souffler lentement des mes crins, qui volaient. La journée c'était écoulée laissant place au coucher de soleil. Nous passâmes près d'un arbre quand il prit de nouveau la parole:

_Alors écoute moi, je t’explique directe, soit tu me dis maintenant, soit ce n’est même pas la peine de venir me reparler, ce serais trop dur de te voir tout les jours en te sachant avec un autre, alors tu réponds!

Je m'arrêta. Net. Il s'arrêta aussi et se mis en face de moi. Je sentais son souffle dans les naseaux, ses yeux marrons foncés me fixait, son coeur battait à la chamade. Il était comme moi, il avait peur. Peut-être n'avait-il pas la même peur, mais il avait peur, j'en étais sure, certaine. Je sentais qu'il allait craquée si je ne lui répondait pas. Je lui tourna autours et je m'arrêta près de son oreille:

_Je vais te dire, je ne t'aime pas, et je ne t'aimerais jamais plus comme un frère. Plus jamais, tu m'entends?

J'étais assez aggresive sur cette phrase. Pas trop mais presque trop pour lui. Je le sentait au bord des larmes. Je baissa la tête et je me mise à pleurer. Sa fessait trop d'émotions d'un coup. Je le regarda dans les yeux. Je savais qu'il avait mal.