Oula y'en a un de trop là !![Pv Cronos, Peanuts, Igor !]

Je m’ennuyais à mourir. Aucun amis pour jouer! Je ne savais pas quoi faire sous
cette chaleur affolante. Je me coucha sur sol brulant.
-AÏE!!!!!C'EST TROS CHAUD!!
Je me leva d'un bond cherchant un coin ou il avais de l'eau pour calmer
ma brûlure. Je bondissais partout et galopais comme une folle pour arrêter
calmer ma brûlure. Je soufflais sur mon ventre. pour que sa se calme.
Soudain je heurtas un truc de plein fouet! Je tombas. Je me relevas en vitesse.
Soudain je vis un grand étalon bleue se dressais devant moi.
-Heu...Désoler je ne voulais pas.
Mes oreilles étaient complètement plaquées contre mon encolure. Mes petites
jambes tremblaient.Je n'avais rien à perdre de la vie de toute façon.
-Tuer moi si vous vouler mais laisser les autres en paix.
Je fermas les yeux en attendant que l'étalon me flanques trois bon coups de sabot
mortel.

Je marchais, seul sous le soleil brillant. L'ombre était absente et la sueur coulais sur mes poils bleu-gris. La chaleur m'étouffait et je ne pouvais galoper. Autant dire que j'étais une proie de choix pour les prédateurs, bien qu'ils ne fussent pas trop audacieux vu al raclée que se sont pris certains. Et aussi, heureusement, les cow-boy ne monteraient pas par une aussi intense chaleur. je cherchai un peu d'ombre et arrivai près de rochers. Ils étaient hauts et permettaient donc une bonne ombre ce qui pourrait me faire du bien. mais.. ce que je cherchais était de 'l'eau alors je fis un détour, me promettant de revenir. J'arrivai a l'étang et bus plusieurs gorgée d'eau. Ah... je sentais avec délice le liquide qui coulait dans ma gorge, m'emparant de sa douce fraîcheur.

JE repartis, au galop cette fois, heureux d'avoir pu me baigner. Oui j'était allé dans l'eau froide. je galopai jusqu'au canyon, '-j'en avait déduis que les rochers c'était lui - et m'y engouffra. je marchais observant les rochers rouges avec stupeur. Ils étaient immenses ! Certains menaçaient de s'écrouler a tout moment et d'autre avait l'air bien installé. Soudainement je sentis une douleur dans ma jambe. je baissai la tête et vis une pouliche jaune qui me regardais. Elle s'excusa précipitamment, comme aillant peur de quelque chose... qui pourrait bien être moi. Elle tremblait, puis détourna le regard en disant un truc qui m'étonnai :

-Tuer moi si vous vouler mais laisser les autres en paix.

Tuer ? Parfois j'en avait envie.. avec certains. Mais pas du tout une pouliche innocente et apeurée. je la regardai, perplexe, et me dit qu'elle était étrange. Bien sur je la railla un peu:

- Mais bien sur que je vais te tuer !

Bien sur avec une pointe d'ironie dans la voix. Je tapai du sabot sur le sol et me reculai d'elle. Soudain, je sentit que quelqu'un nous observé et avait l'air d'avoir entendus. Je me retournai et vis un autre poulain qui avait l'air énervé comme si il croyait que ce que j'avais dit était vrai.... mais.. c'était peut-être un effet de mon imagination.

non fuillons depuis qu'elle était partie, elle, ma mère, qui eue fui devant moi. Avec Ambres nous courrions et avions fini par atteindre cette terre aride qu'est le canyon, Elles courrait si vite, je n'arrivait plus a la suiver, elle se retourne vers moi toujours en courrant quand je m'arrête pour l'admirer courrir saufe que je la vis perquter non pas un rocher, mai un étalon bleu, je n'aime pas ces peronnages, malheuresement, je vais en devenir un!
-Tuer moi si vous vouler mais laisser les autres en paix.
C'est quoi cette phrase, non mai, je n'eu pas kle temps de réagir que l'étalon répondi
-Mais bien sur que je vais te tuer !
je bouillait, mai je suis un froussard, malgré ce défaut, je fonca tê^te baissé dans cet étalon, pila, me cabra, mai debout, je fesait sa taille., aucunne chanse, ma petite ambre emme était pétrifiée!, elle tremblais devent ce mur de muscle qui la menassais

Le vent soufflait légèrement, les oiseaux chantaient, le bruit du ruisseau près de moi faisait une mélodie, le crissement des arbres secs accompagnait cet orchestre naturel. Tout était si beau, si envoutant ... *MOUWAAAH !* Je baillais pour me réveiller et étendre ma mâchoire. Je clignais des yeux à cause du soleil qui m'éblouissait. J'attendis un peu d'avoir les pupilles prêtes à affronter la lumière, et je me leva. M'étirant de tout mon long, je scrutais les alentours. Il n'y avait personne. Autour de moi, seule la nature régnait en maitresse toute puissante, si forte, si douillette. Marchant toute doucement, je m'éloignait de l'endroit où j'avais passé la nuit. Je savais que j'étais sur les terres des solitaires, car mes terres, je le connaissait comme ma poche. Je me dirigeais vers le canyon, ces terres brulées, et tellement aride à cause de la sècheresse qui domine tout la bas. Au canyon, personne n'a sa place. Pas même la végétation, tout de suite anéantie par l'astre brulant. Dès que je m'en approchais, je sentais des assauts de chaleur en moi, comme si j'allais étouffer. La sueur dégoulinait déjà de mes flancs et de derrière mes oreilles. J'avais l'impression que j'allais fondre, comme un glaçon dans de l'eau. Ce sentiment - Fort désagréable - commençait à s'encrer en moi. J'avais des vertiges, et je ne me sentais vraiment pas à mon aise. Je ne savais même pas pourquoi - d'ailleurs - j'étais venu ici. Quelle idée idiote ! Finalement, je rebroussait chemin. Le canyon n'était fait que pour les fous suicidaires ! Et je n'en était pas un, du moins, pas encore. Alors que je marchais très doucement, je perçut des voix un peu plus loin. Couchant les oreilles en arrière et montrant mon air agressif, je m'approchais peu à peu de ces inconnu, alors que la sueur perlait sur mon corps brûlant. Je vis, deux poulains, un ridicule, très poilu, une - car c'était un fait une pouliche - jaunâtre et pleins d'hématomes étranges, et un étalon bleu, qui m'avait l'air tout aussi abrutis que les deux autres mioches. Je le regardais. Les petits me faisait pitié. Je n'aimais pas vraiment les poulains, mais je n'était pas au plus haut point de ma méchanceté avec eux. Par contre l'étalon me fit bouillonner. Des envies de combat me pincèrent soudain. Je voulais bondir, lui sauter à la gorge, et l'anéantir, pour qu'il fuie comme une mauviette. Mais je ne le fit pas. De mon point de vue, je percevais leur discussion. « Mais bien sur que je vais te tuer ! » Je vit tout de suite la point d'ironie dans sa voix. Je rêvais ou ... il se croyait drôle ?! Cela l'amusait de faire peur aux petits ?! La colère bouillait en moi. Les oreilles plaquée en arrière, j'attendais un réponse de la pouliche, mais ce fut finalement le poulain qui s'énerva. Il fonça droit sur l'étalon. Je me décida à agir. Bondissant tel un fauve enragé, je me fixait entre l'étalon et le poulain, l'étalon face à moi. Je plaquais les oreilles en arrière, montrant toute ma puissance. Cet individu était bel et bien bête, comme tous les autres. Je lançais un regard fusillant aux deux poulains, avant de lâcher, d'une voix grave : « Mais vous ne voyez pas que cet imbécile vous taquine ! Vous n'êtes que de sales petits naïfs ! Comment pouvez-vous avoir peur de cet ... cet individu ! Ne vous faites pas plus idiots que vous ne l'êtes déjà, soyez au moins plus intelligent que cette chose bleuâtre ! » Je fusillais l'étalon du regard. A nouveau, l'envie de me battre surgis. J'étais né pour me battre, et ce n'était pas cet empoté qui allait m'effrayer. D'une voix agressive je lui dit : « Et toi, pour qui te prends-tu ?! Tu crois sans doute que faire peur à ces petits va te réussir !? Tu es encore plus idiots qu'eux, alors que tu as le double de leur âge. Ah ! Môsieur veux effrayer les autres ?! Tu n'est qu'un bon à rien ! Tu ne sais même pas te battre j'en suis sur. J'ai une envie de t'écraser comme un moucheron, mais je ne vais pas le faire devant ces ... enfants ! Ne te crois pas plus malin qu'eux ou que les autres, tu ne vaut rien. » Je lui tournais autour tel un fauve, le menaçant du regard. S'il bougeait d'un poil, je lui sautait dessus. Il avait le don - comme tous les autres étalons pour moi - de m'énerver rien qu'en existant. Il ne savait pas à qui il avait affaire, et son air arrogant faisait monter plus haut ma rage définitive des autres individus.

Soudain pea' bondit et se cabras devans l'étalon tout en muscle. Moi j'étais pétrifier.
Nous allions mourir! Moi je m'en ficher mais Pea' lui avais une vie! Je me postas entre les
deux chevaux. Soudain un autre étalons bondit entre nous et l'étalon. Il étais face
à l'étalon bleu.
« Mais vous ne voyez pas que cet imbécile vous taquine ! Vous n'êtes que de sales petits naïfs ! Comment pouvez-vous avoir peur de cet ... cet individu ! Ne vous faites pas plus idiots que vous ne l'êtes déjà, soyez au moins plus intelligent que cette chose bleuâtre ! » Lança l'étalon,qui venais d'arriver, nous fusillant du regard, moi et Pea'. J'avais les oreilles plaqués en arrière. Mais pour qui il se prenais celui-là?! Je
voulais mourir moi! Pea' lui aussi avait du être surpris. Je me tournas vers lui, lui susurrant:
-J'ai peur de cet étalon, là.
L'étalon se tournas vers l'étalon bleu et répliquas séchement:
« Et toi, pour qui te prends-tu ?! Tu crois sans doute que faire peur à ces petits va te réussir !? Tu es encore plus idiots qu'eux, alors que tu as le double de leur âge. Ah ! Môsieur veux effrayer les autres ?! Tu n'est qu'un bon à rien ! Tu ne sais même pas te battre j'en suis sur. J'ai une envie de t'écraser comme un moucheron, mais je ne vais pas le faire devant ces ... enfants ! Ne te crois pas plus malin qu'eux ou que les autres, tu ne vaut rien. »
L'étalon lui tournais autours comme un puma près à bondir. Mais qu'il m'énervais celui-là!!!! Je pris le trot me dirigeant vers l'étalon:
-MAIS POUR QUI VOUS PRENEZ-VOUS??!!! JE VOULEZ MOURIR ESPÈCE DE... DE ...GRUMMM!!!!!
Je me cabras en hennis de toutes mes forces. Non mais ho! Y a des gens qui abusent un peu tros de nos jours!

Je regardai encore la pouliche mais lorsqu'elle voulut réagir, enfin..c’est ce que je pensais, j’entendis le bruit d'un sabot, enfin..de plusieurs sabots. Je me retournai a peine et vis un poulain débouler. Il n'était pas trop grand et était beige et blanc. Il se cabra comme pour me faire peur, mais ce n'étais pas le cas. j'allais répliquer, lui dire que c'était faux, que je n'allais pas toucher a sa "petite" copine. Quand un étalon gris souris avec de drôle de marques vertes se mis entre nous; Il se mit alors a débiter tout un blabla sur le fait que les poulains étaient naïf, et que j'étais un imbécile....QUOI ?!
Il pensait me faire la moral alors que lui-même se mêlait des affaires des autres ? C'était nouveau ça... en tout cas l'étalon avait l'air de me menacer, avec les oreilles en arrière. Moi, pareillement a lui, je els couchai aussi et le regardai :

-Dit donc toi ! On t'as jamais dit que c'était pas poli d’interférer dans les affaires des autres.et je sais me battre ne t'en fais pas pour cela. Et ta morale tu peux te la garder !

Malgré ma rage intérieur je m'efforçai de répondre calmement.
je me mis alors en garde, près a recevoir un coup de sabot et a l'éviter. Le gris me regardait toujorus, et, devant l'air effaré des poulains, je me cabrai quand soudain j’entendis un bruit dans mon dos. La pouliche.. je l'avais presque oubliée. Elle s'était énervée contre l'autre étalon disant qu'elle voulait mourir. Bizarre une pouliche a tendances suicidaires. Sans prendre en compte l'autre imbécile je me retournai vers elle:

-Écoute si tu veux mourir, jette toi du haut du falaise ou va te noyer dans l'étang mais moi je serais jamais capable d'un tel acte alors laisse moi tranquille !

Soudain, je ressentit une douleur dans mon dos et cela me poussa. je me retournai et voyait l'étalon. Était-ce lui ? Ou autre chose ? en tout cas je pensais dur comme fer a la première possibilités alors je me retournai et lui dit :

-Toi, viens pas te plaindre si t'es blessé après.

Puis je me cabrai une nouvelle fois.

c'est quoi ce grand machin vert et gris, ha un étalon, encor, je peu plus les voires en peintures ceux la.
Il se prennent vaiment pour des dieux, sa a la don de m'énnerver! Si chanque étalon était un dieu, il y en aurrait beaucoup, et ils ne saurraient pas cohabiter, quel gachi... *PFIOUF*

Et tite ambre que sort ce discour, moi je lui courrait après pour la ratraper!
Après la collision, et mon numéro du mec m=protecteur qui se rend compte qu'il est tout petit, Ambre qui se rement entre nous deux, voila "FEAN VERT" qui s'y met (houa je suis de plus en plus sur de moi) et le voila qui se met a nous sortir son blabla:

Comme quoi nous sommes naïfs et que le grand bleu se paye notre tête... enfin quoi, je suis pas bête, c'est pas de lui que je protègait Ambre, mai d'elle même. Encore une preuve qu'ils ne sont pas des dieux!

et le voila reparti:
« Et toi, pour qui te prends-tu ?! Tu crois sans doute que faire peur à ces petits va te réussir !? Tu es encore plus idiots qu'eux, alors que tu as le double de leur âge. Ah ! Môsieur veux effrayer les autres ?! Tu n'est qu'un bon à rien ! Tu ne sais même pas te battre j'en suis sur. J'ai une envie de t'écraser comme un moucheron, mais je ne vais pas le faire devant ces ... enfants ! Ne te crois pas plus malin qu'eux ou que les autres, tu ne vaut rien. »
mai serieusement pour qui il se prend, je n'en ai pas peur, quel toupet!

Ambre intervena:
-MAIS POUR QUI VOUS PRENEZ-VOUS??!!! JE VOULEZ MOURIR ESPÈCE DE... DE ...GRUMMM!!!!!
Je n'en peu plus de ce discourt, et l'autre gris qui s'en melle,

-Écoute si tu veux mourir, jette toi du haut du falaise ou va te noyer dans l'étang mais moi je serais jamais capable d'un tel acte alors laisse moi tranquille !
il a quoi a lui dire de sauter, 'tain.

il continua avec ces mots
-Dit donc toi ! On t'as jamais dit que c'était pas poli d’interférer dans les affaires des autres.et je sais me battre ne t'en fais pas pour cela. Et ta morale tu peux te la garder !
et toi pauv' pomme va, non mai, en plus j'ai même pas le temps d'intervenir moi!
je vis le bidule bleu contracter et remonter son dos, pour quoi... ce n'est quand même pas mon coup de sabot qui lui a fait mal. avec mes tout petis sabots.

-Toi, viens pas te plaindre si t'es blessé après.

qu'est ce qu'il voulait dire, les oreilles couché.

Je commencer à ne rien comprendre.L'étalon bleu m'adressa la parole:
Écoute si tu veux mourir, jette toi du haut du falaise ou va te noyer dans l'étang mais moi je serais jamais capable d'un tel acte alors laisse moi tranquille !
Bon ben si il le prenais comme çà je ne dirais lus rien, na!Je m'assis et je regarder le spectacle, entre tous ses étalons. Je ne comprenais as vraiment mais je continuais à regarder. Je fixais surtout Pea', pour qu'il ne lui arrive rien.Soudain l'étalon gris foutus un grand coup de sabot dans le dos de l'étalon bleu. Je baissa les oreilles. Mais
il n'allais vraiment pas bien celui là! L'étalon bleu s'énerva et se tournas vers l'étalon gris:
Toi, viens pas te plaindre si t'es blessé après.
Oula sa allais mal tourner! Je me levas d'un bond. Je ne voulais AUCUN blesser moi! Je trottas jusqu'au deux étalons et me plaças devant eux:
-STOP!
Je me cabra, les oreilles bassent. Quand je dit que je voulais aucun blesser, je ne comptais pas! Je me remis sur mes quatres pattes:
-Recommençons tous depuis le début! Comment vous vous apeller?
Je m'adressais au deux étalons.

Up???