L'ennuie du jour [PV : Erable]

Un des Indien arriva de bonne humeur à la carrière. Son air joyeux fit lever la tête à notre étalon à tâches. L'indien ouvrit la barrière en faisant signe à Pinceau qu'il pouvait aller galoper pour quelques heures. Et c'est avec une hennissement de joie à l'adresse du bipède que l'étalon s'élança au triple galop vers les grandes collines. Ses sabots martelant le sol à chaque foulées l'étalon se sentait libre comme l'air et pouvait maintenant faire ce qui lui semblait le mieux pour lui .

Le vent était léger et chaud pour le moment et Pinceau se sentait bien , il s'était arrêté au sommet d'une colline et regardait tour à tour le village avec quelques fumées qui devait s'échapper des quelques tipis et ensuite il regardait la rivière qui coulait avec calme et grâce.

Humant l'air à pleins poumons le jeune cheval ne savait plus trop vers quel destination s'élancer mais l'envie de galoper était si forte et intense qu'il n'en pouvait plus il sentait une émotion étranger grimper il la sentait jusqu'aux sabots. Se cabrant et hennissant il partit en direction d'un autre sommet de colline celui-ci donnait sur l'étang cette fois.

Ne sachant encore que faire il redescendit à l'endroit où il était précédemment à croire qu'il tournait vraiment en rond , lui qui attendait depuis longtemps déjà un peu de liberté voilà qu'il ne savait plus quoi faire de son temps libre. Baissant la tête vers le sol , il inspira et pris une bouché de quelques brindilles fraîches.

Ce n'était pas vraiment ce qui lui serait venu tout de suite à l'esprit mais il commençait à avoir l'estomac creux et manger maintenant c'était la meilleure solution.

Tout en mangeant avec satisfaction il entendit quelques bruit qui fit tourner son oreilles un peu dans tous les sens. Cependant en relevant la tête il ne vit rien aux alentours...

- Eh bien voilà que j'entends des bruits maintenant...

Je me promener puis je parti a toute allure au galop je m’arrêtai pour boire puis je parti au pas puis au trot et là je voulu partir au triple galop je Fonça a toute vitesse quand la je vis un étalon il était indien je parti dans un autre sens pour manger un peut puis je me mis contre un arbre et je me couchai et je dormi un peut puis je me levai et parti a toute allure me réchauffer j’alla boire et puis je marcher au pas et j’alla voire l’étalon je commencer a galoper a fond puis je m’arrêta et je lui dit :

-« ''Salut!!! Ta entendu des bruit désoler c’était moi quand je suis libre je fais la folle mais j’adore l’être, je m’appelle Erable et toi ? En plus il fait très beau’' ».

Je le regardé et je manga de l’herbe puis j’attendis ça réponse je n’aime pas trop en poser des questions mais quand je me lance et bin sa va les questions en plus je voudrai bien qu’il et mon amis au moins on s’amusera ensemble.

(Ce n’est pas très long mais le prochain il le sera^^)

Pourtant le jeune étalon savait très bien qu'il n'était pas fou à ce point , et même au point d'inventer des bruits de toute pièce ! Continuant de brouter cette fois il entendit des foulées folles arriver à toute allures vers lui.

Finalement il savait bien qu'il n'avait rien imaginé. Une jument complètement dingue arriva à grande enjambée vers lui , elle avait une crinière d'or et une robe neige. Elle était plutôt jolie.

*Mon pauvre Pinceau revient sur Terre*

Secouant la tête il l'écouta elle débitait ses paroles à une vitesse que Pinceau se demandait si il pouvait répondre à ça... Prenant une grande inspiration et finissant de mâcher ce qu'il avait toujours dans la bouche il répondit à la jument de façon très courtoise :

- Moi c'est Pinceau et t'en fais pas pour le bruit ça ne m'a pas gêner plus que ça.

Pinceau n'était pas mal à l'aise cependant même qu'il soit très sociable il n'avait pas l'habitude de trop parler non plus. Tant pis il ferait avec. Se baissant à nouveau pour attraper quelques brindilles qu'il avala très vite il reprit la conversation :

- Être folle quand on est libre je vois ce que c'est j'attends chaque jour avec la plus grande impatience de pouvoir galoper en liberté dans les collines.
Sans liberté je crois que je deviendrai complètement dingue !