Rencontre de printemps [PV]

L'air frait du printemps me rafraichi, j'adore galoper dans le vent, j'ai presque l'impression de voler. J'arrive vers un coin de verdure, l'herbes na pas encore bien poussait après ce rude hiver et il faut avoir de la chance pour en trouver.Je broute quelques herbes par si pas là, pensant à tout et à rien en même temps. Les indiens m'avait laissé m'avanturer hors de leurs terres, j'en avais bien besoin, c'est dernier temps l'ambiance était assez tendu entre moi et les autres. Donc, revenons en au sujet, les herbes encore rares, j'essayais de creuser la terres pour en détterer quelque racines. Personnellement je deteste ça, ça a un horrible goût mais j'ai trop faim. Je relève la tête, dérangé par un léger bruit provenant du bout de la plaine. Peut être un troupeau de chevaux sauvage ? Non, alors qu'est-ce que cela peut bien être ? Intrigué je commenc à troter en direction du bruit. Je ne voie rien, probablement mon imagination. Je me couche alors dans l'herbe et me frotte contre le sol, j'aime, sa me détend. De nouveau des vibrations dans le sol puits des hénissement. Je lève la tête. Un étalon monté arrive vers moi, je ne le connait pas. Je ne fais rien, j'attend. Ne s'achant que faire, j'ai trop peur pour bouger

Tout le camp se réveilla au son du clairon, moi comme mes autres confrères, le colonel organisait une petite capture pour avoir des juments et des poulains, il ne fallait donc que l'ont ne capture que les chevaux de gente féminine. Soit, mon maître vint m'apporter mes granulés puit après avoir fait mon box il s'attaquait à mon pansage, j'étais sale voilà plusieurs jours que je n'avais pas été brosser et que nous n'étions pas sortient! J"avais hâte et mon patron aussi! Après quelques coups de brosse et d'étrille, mon maître me mit mon équipement et grimpa sur mon dos, du faite de sa petite taille il peina à monter. Mias il étais en haut c'était le principale, le colonel fît ordre d'ouvrir les portes et nous nous sommes élancés au grand galop, tant de bonheur de pouvoir enfin galoper sans limite! Ca changeait de notre petit corral! Avec mon maître on n'a pas mis longtemps avant de voir une jument seul, elle semblait venir vers moi, curiosité? Sans doute, mon maître appela trois de ses compagnon et on s'élança tous à la poursuite de la jument, les cris de nos maîtres nous exitaient, la jument sera bientôt prise au piège! Mon coeur battait vite et mes sabots laissaient derrière eux un nuage de fumé. Mon maître tira sur mes renne je me stoppa, il donna l'ordre au autre d'encerclé la jument ainsi nous aurons plus de chance de la capturer, j'étais d'accord avec lui. Quand à nous nous sommes resté ici en attendant que les autres rabattent la jument sur nous.

J'avais mal vu, il n'y en avait pas qu'un, ils étaient matenant un bon groupe et ils m'encerclaient. Que faire ?! Je panique et me lançe sans le savoir dans leur piège. Je galope à vive allure vers le seule coté oû il n'y a personne. Le male orangé arrive dans la même direction et me barre la route. J'ai peu, je m'élançe dans l'autre sens, tant pis je fonce dans le tas. AIE !!! L'étalon dans lequel je viens de foncer est musclé, je me suis fait mal ! Comment faire ? Je pense stratégie, mais il n'y a rien à faire. Je ne m'en sortirais pas indemne. Je hénis, couche les oreilles. J'essaye de les effrayer mais rien y fait, ils sont bien déssidés à m'avoir. sachant que je ne peut rien faire, je pense alors à ce qu'ils feront de moi. Je n'ose même pas y penser, je suis déjà aller dans le fort. Ils nous font faire des galipettes dans le coral, des sortes de concours pour savoir qui tiendra le plus longtemps sur notre dos. Mais peut-être que cette fois ce sera différent. Soudain de sens quelque chose sur mon cou, je baisse la tête et je m'apperçois que c'est une corde. Je me débat, je ne veux pas y retourner. Une autre corde encercle mon cou, puits une autre à ma patte droite. Je suis épuisée et je m'écroule. Je ne veux pas me relever, si je ne me lève pas il ne pourront pas m'emmener ; merveilleuse idée. Mais ils trouveront un moyens !